Ne jetez pas la pierre à celui qui baisse les bras…
Des instants d’incertitudes, d’absence de lucidité
Où l’on sombre en une encre épaisse et gluante
Où l’on se sent piégé comme un misérable rat,
Le néant semble nous engloutir, nous broyer
Tout sourire, humour et espoir déchantent…
Dormir pour oublier les cauchemars de la réalité,
Se réveiller hagard, jambes chancelantes
Ne trouvant plus aucune compréhension,
Les yeux cernés, les mains tremblantes,
L’esprit anéanti, desséché, liquéfié
Par les sanglots de l’âme en contusions…
Ne jetez pas la corde à celui qui veut se pendre…
Pardonnez-lui ses faiblesses et sa fragilité,
Nul n’est doté d’une force invincible
Et ne puis se retrouver en les méandres,
En les tortueux labyrinthes et sinuosités
De ces sentes abruptes et incoercibles…
Les voix de l’entendement restent bâillonnées,
Aveuglées par de cruelles meurtrissures
Où pleure silencieusement le sang de la vie
Des chairs torturées, tuméfiées et déchirées
Épanchant d’obscures et confuses brulures
Où l’élancement de la souffrance sévit…
Ne jetez pas le linceul à celui qui ne peut se relever…
Tôt ou tard il se redressera avec confiance,
Vaincra avec courage son incontrôlable désespoir,
Il continuera sa route pour les êtres aimés
Leur portant aide et les guidant avec espérance
Afin de faire savoir que tout n’est pas si noir…
Des instants d’incertitudes, d’absence de lucidité
Où l’on sombre en une encre épaisse et gluante
Où l’on se sent piégé comme un misérable rat,
Le néant semble nous engloutir, nous broyer
Tout sourire, humour et espoir déchantent…
Dormir pour oublier les cauchemars de la réalité,
Se réveiller hagard, jambes chancelantes
Ne trouvant plus aucune compréhension,
Les yeux cernés, les mains tremblantes,
L’esprit anéanti, desséché, liquéfié
Par les sanglots de l’âme en contusions…
Ne jetez pas la corde à celui qui veut se pendre…
Pardonnez-lui ses faiblesses et sa fragilité,
Nul n’est doté d’une force invincible
Et ne puis se retrouver en les méandres,
En les tortueux labyrinthes et sinuosités
De ces sentes abruptes et incoercibles…
Les voix de l’entendement restent bâillonnées,
Aveuglées par de cruelles meurtrissures
Où pleure silencieusement le sang de la vie
Des chairs torturées, tuméfiées et déchirées
Épanchant d’obscures et confuses brulures
Où l’élancement de la souffrance sévit…
Ne jetez pas le linceul à celui qui ne peut se relever…
Tôt ou tard il se redressera avec confiance,
Vaincra avec courage son incontrôlable désespoir,
Il continuera sa route pour les êtres aimés
Leur portant aide et les guidant avec espérance
Afin de faire savoir que tout n’est pas si noir…
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