L’amitié de tant d’années
Je vous confie deux pages
De la revue saisonnière des retraités de l’entreprise,
Laquelle avait l’esprit de famille en mes 40 ans de présence
Fidèles aux souvenirs si riches d’un temps qui ne s’oublie !
Cette Amitié que j’ai retrouvée comme une ruche d’abeilles
Se poser sur moi le jour des obsèques de ma petite sœur, un
Cœur tout entier réconfortant en ces heures si particulières !
Les collègues nombreux aussi m’ont assaillie chaudement !
Tout cela pour vous dire, quel grand bonheur nous scellait
Les jours durant, une complicité amicale était construite !
Je précise tout ceci pour les bourreaux qui m’attaquentent
Jours et nuits depuis 2015 (leur début) sans le savoir !
Cet année-là j’étais présente à l’invitation annuelle
Où un bowling nous attendait bien évidemment
Et j’y participais. Je pense en 2016 également!
En 2017, je n’ai pas su y aller, les suivantes,
Inutile, j’étais prise par leur tournante
M’accablant de plus en plus !
Je n’ai revu personne
Sauf le 21.07.18
A Intermarché
Où j’ai rencontré des collègues de travail !
Mais je n’ai rien dit de ce vaste cauchemar !
Prisonnière et jusqu’à quand encore ?
Faut-il un olifant ou le cor
Pour me réveiller tous
Les matins
Pour endeuiller mes journées sans fin !
En tous les cas, après avoir abimé
Une entreprise extraordinaire à
Saint-Lys et ses environs
Et bien d’autres encore
Ces intrus pourront voir qu’au vu et au su de chacun
Qu’ils traînent leur haine et leurs insultes pour tuer tout ceux qui me touchent !
et me sont chers!
Le Directeur financier
Ce poème posé ici en mars 2017
a été rectifié pour le nombre de pieds!
Polymnie2, ce 22 Février 2020
De la revue saisonnière des retraités de l’entreprise,
Laquelle avait l’esprit de famille en mes 40 ans de présence
Fidèles aux souvenirs si riches d’un temps qui ne s’oublie !
Cette Amitié que j’ai retrouvée comme une ruche d’abeilles
Se poser sur moi le jour des obsèques de ma petite sœur, un
Cœur tout entier réconfortant en ces heures si particulières !
Les collègues nombreux aussi m’ont assaillie chaudement !
Tout cela pour vous dire, quel grand bonheur nous scellait
Les jours durant, une complicité amicale était construite !
Je précise tout ceci pour les bourreaux qui m’attaquentent
Jours et nuits depuis 2015 (leur début) sans le savoir !
Cet année-là j’étais présente à l’invitation annuelle
Où un bowling nous attendait bien évidemment
Et j’y participais. Je pense en 2016 également!
En 2017, je n’ai pas su y aller, les suivantes,
Inutile, j’étais prise par leur tournante
M’accablant de plus en plus !
Je n’ai revu personne
Sauf le 21.07.18
A Intermarché
Où j’ai rencontré des collègues de travail !
Mais je n’ai rien dit de ce vaste cauchemar !
Prisonnière et jusqu’à quand encore ?
Faut-il un olifant ou le cor
Pour me réveiller tous
Les matins
Pour endeuiller mes journées sans fin !
En tous les cas, après avoir abimé
Une entreprise extraordinaire à
Saint-Lys et ses environs
Et bien d’autres encore
Ces intrus pourront voir qu’au vu et au su de chacun
Qu’ils traînent leur haine et leurs insultes pour tuer tout ceux qui me touchent !
et me sont chers!
Le Directeur financier
Ce poème posé ici en mars 2017
a été rectifié pour le nombre de pieds!
Polymnie2, ce 22 Février 2020
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